CLASSE 1940 1941
L’ECOLE
(Béatrice Faivre)
Préambule
Aussi loin que remontent les
archives communales, on peut remarquer que chaque année le débat pour « la
rétribution scolaire » reprend.
L’enseignement sous le second Empire était payant, en partie à la charge
des parents, et pour l’autre partie, la plus lourde à la charge de la commune.
Le département ou l’état n’allouait qu’un léger supplément.
1775 : INSTALLATION D’UN MAITRE D’ECOLE
Nous soussignés
Joseph ROY et Claude Joseph GANEVAL tous les deux du Frasnois
avons engagé le
nommé Pierre Jean Germain de la Chaux
des Crotenay pour enseigner nos enfants à commencer au premier novembre
prochain et finira à la fin de mars prochain de l’an suivant pour le prix et
somme de dix-huit livres tournois de France payable à la fin du temps.
Fait au Frasnois
le 22 octobre mil sept cent soixante et quinze et avons signé
P.J. Germain et
nous Joseph Roy Claude Joseph Ganeval promettons de nourrir chauffer coucher et
fournir la chambre pour enseigner nos enfants
ANNEE 1863 : CREATION D’UNE ECOLE DE FILLES
·
22 septembre
1863 ; projet école communale de filles
L’an 1863
le 22 septembre le Conseil Municipal de la commune du Frasnois réuni en séance
extraordinaire en vertu d’une autorisation de Monsieur le Préfet en date du 19
courant à effet de délibérer sur le projet d’une école communale de filles
à établir dans la susdite commune.
Présents :
MM Félix Honoré, Monnoyeur Théodule, André Rodolphe, Grappe Célestin Adjoint,
Grappe François Régis, Patouillard Pierre Elie, Félix Joseph Valentin,
Monnoyeur Emmanuel et Monnoyer Augustin Maire.
Considérant 1er
que le nombre d’élèves de l’école mixte du Frasnois dépasse soixante et que
dans l’intérêt des progrès de l’école et de la santé de l’instituteur il serait
urgent d’adjoindre un instituteur à M. Bourgeois puisque d’ailleurs le nombre
des élèves dépasse le chiffre fixé par les règlements sur cette nature.
Considérant 2ème
que dans l’intérêt de la moralité il est très opportun de séparer les sexes en
scindant l’école en deux classes.
Considérant 3ème
l’impossibilité pour un instituteur d’enseigner aux jeunes filles ce qui fait
sinon la base du moins ce qui constitue un domaine très important de leur
éducation.
Considérant 4ème
que c’est dans l’intérêt des habitants de la commune qui sont obligés pour
faire l’éducation de leurs filles de les envoyer chez les institutrices des
communes voisines.
Délibère qu’il y
a urgence d’établir une école communale de filles dans la commune du Frasnois.
Le Conseil
Municipal affecte pour traitement de l’institutrice une somme fixe de trois
cents francs à prendre sur les rétributions mensuelles des filles qui
fréquenteront l’école ; laquelle rétribution mensuelle la commune percevra
chez le receveur municipal. Et en cas d’insuffisance de la rétribution en
question, la somme de trois cents francs susdite sera parfaite sur les revenus
ordinaires de la commune.
Le Conseil
Municipal s’occupe incessamment de louer une maison convenable pour la salle de
classe des filles et le logement de l’institutrice.
Le Conseil
Municipal prie Monsieur le Préfet d’être assez bon pour prendre en considération
la présente délibération et nommer une institutrice au Frasnois pour la rentrée
prochaine des écoles.
En Mairie au
Frasnois les an, mois, jour, susdits.
Signatures
·
18 octobre 1863 : ouverture école des
filles
L’an mille huit
cent soixante-trois, le 18 octobre, le Conseil Municipal de la commune du
Frasnois réuni extraordinairement en vertu d’autorisation de Monsieur le Préfet
en date du 19 septembre dernier.
Présents : MM.
Monnoyeur Théodule, André Adolphe, Grappe Célestin, Grappe François Régis,
Félix Honoré et Monnoyeur Augustin, Maire.
Monsieur le
Maire, vue l’autorisation préfectorale en date du 19 septembre dernier d’ouvrir
dans la commune du Frasnois une école de filles.
Vu qu’il a été
déterminé par l’autorité compétente que le rez de chaussée de la maison commune
serait consacré à la tenue de l’école et au logement de l’institutrice.
Propose à son
conseil qu’il soit prélevé sur tous les fonds disponibles de la commune une
somme de 110 Frs qui sera affectée aux améliorations et réparations à faire au
logement et à la salle de classe de l’école qu’on se propose d’ouvrir.
Délibéré en
séance en Mairie au Frasnois les an, mois, jour, susdits.
·
1er
novembre 1863 : nomination et installation institutrice école communale de
filles
L’an mille huit cent soixante-trois, le 1er
novembre, par devant nous Augustin Monnoyeur Maire de la commune du Frasnois
est comparue RATTE Lucia à l’effet
de se faire installer dans les fonctions auxquelles elle a été nommée par
arrêté de Monsieur le Préfet en date du 17 octobre dernier.
La titulaire ayant prêté dans mes mains le
serment dont la teneur suit :
« Je jure obéissance à la Constitution
et fidélité à l’Empereur »
Les instituteurs (trices) de l’époque étant tenus
de prêter serment d’obéissance à la
constitution et fidélité à l’Empereur Napoléon III, devant le maire.
Avons déclaré la susdite RATTE installée dans
ses fonctions d’institutrice communale et a signé avec nous le présent
procès-verbal après que lecture lui en a été faite.
En Mairie au Frasnois les an, mois, jour,
susdits.
1865
L’école n’est pas gratuite :
l’abonnement d’un enfant est fixé à 8 francs annuellement ou 1 franc 60 cts par
mois pour les « non abonnés ».
Le conseil décide « l’institution de
cours du soir nécessaires à la population rurale adulte , désireuse d’acquérir
les connaissances indispensables à chacun quelle que soit d’ailleurs la
carrière qu’il embrasse » Les dits cours continueront d’être assurés même
pendant la guerre de 1870.
1872
Création d’un gymnase :
le conseil municipal décide l’achat d’agrès et de matériel « considérant
les avantages hygiéniques que présente la gymnastique et la possibilité de se
préparer ainsi aux exercices militaires »
1881
Création de la
bibliothèque scolaire et de la caisse d’épargne scolaire avec délivrance de
livrets de caisse d’épargne aux 3 élèves les plus méritants.
1882
Jules Ferry fait
voter la gratuité et la laïcité de l’école obligatoire ; on en retrouve
l’application immédiate dans les
délibérations du budget municipal : plus
« d’abonnement » et plus de crucifix dans les classes de
l’école publique.
Dès mai 1882,création
d’une caisse scolaire qui accorde toujours des livrets de caisse d’épargne,
distribue livres et fournitures aux élèves indigents ou peu aisés, fournit
chaussures et vêtements et aliments chauds l’hiver. La caisse scolaire peut
bénéficier de dons, de legs en espèces et en nature.
1887
Fermeture de l’école
des filles considérant le peu d’élèves d’autant que les ressources de la
commune ne permettent pas de payer un instituteur et une institutrice. L’école
redevient donc mixte avec exécution de travaux pour ouverture différente selon
le sexe des écoliers.
1909
Sur arrêté du
Préfet , Madame MONOT est installée
dans fonctions de maîtresse« directrice de travaux à l’aiguille (cours de
coupe et de couture)» avec une indemnité
annuelle de 80 Fr.
1912
« Considérant que le service de la direction
des travaux à l’aiguille à l’école communale est indûment à la charge de la
commune, celle-ci ayant par sa population
et sa population mixte droit
elle-même les leçons de couture
Considérant d’autre part, le peu de profit de cette
dépense vu le petit nombre et le bas âge des enfants qui profitent de ces
leçons », le Conseil décide de supprimer les leçons de couture à l’école à
partir de la rentrée d’octobre.
On peut supposer
que dès 1895, l’ouverture d’un pensionnat qui deviendra par la suite le Nid des Merles* pour fillettes et jeunes
ôta de nombreux sujets féminins à l’école publique
__________________________________________________________________
Le Nid des Merles
Origines
Construit en 1895 par le Curé du Frasnois de
l’époque, l’abbé Loye, ce fut au départ un pensionnat privé pour jeunes
filles à vocation d’école primaire et
ménagère sous la dénomination Institution Jeanne D’arc
Six religieuses sécularisées
assuraient les cours qui mentaient aux études primaires supérieures. Le
pensionnat comptait une trentaine
d’internes auxquelles s’ajoutaient une vingtaine de jeunes filles du Frasnois,
Aux études générales, s’ajoutaient l’enseignement ménager, la coupe, la
couture, la lingerie, ce qui justifia, dès 1912, l’arrêt des cours de couture
dispensés dès décembre 1887 dans l’unique école publique mixte de la commune.
L’institution possédait sa basse-cour, sa volière… et bergerie avec une chèvre…
En 1914, à court d’argent, le curé dut se
résoudre à vendre la propriété à M. Lemerle qui voulut perpétuer son nom par
l’appellation « Le Nid des Merles »,
De 1914 à mars 1928, le Nid des Merles continua à fonctionner en pensionnat de petites
filles.
Le Nid des Merles et le Nid des Pierrots
·
A compter d’avril 1928, la maison devient un
établissement sanitaire en offrant des séjours de cure d’air dans le jura pour
enfants délicats sous l’égide des préventoriums du Haut-Jura pour la jeunesse,
association reconnue d’utilité publique.
Le Nid des Merles reçoit
essentiellement des enfants fatigués de Lyon et de la Région parisienne sur des
périodes plus ou moins longues afin que ces derniers tirent un vrai bénéfice de
leur séjour.
Un bâtiment annexe « Le
Nid des Pierrots », constitué de plusieurs grandes bâtisses en bois,
flanquées aux quatre coins d’une tourelle édifiée sur un grand terrain où
s’ébattaient les petits pensionnaires :
·
En 1940 : les baraques du
Nid cessent d’être utilisées : on y fera du théâtre
· En 1959 : destruction du
Nid des Pierrots lorsque la Fédération Mutualiste des Hauts de Seine devient propriétaire en rachetant le
tout à un soyeux lyonnais philanthrope, M. Condamin.
·
Dès les années 1930, ce sont Mlles Marguerite PAILLARD, infirmière de son état,
et Simone GUILLOU De KEREDAN qui
assureront la direction de
l’établissement jusqu’à leur retraite
respective en 1968 et 1970
o
Mlle
PAILLARD qui avait construit au Frasnois décédera en 1999, à l’âge de 99 ans.
·
A partir de 1970, Mlle CHANARD leur succédera jusqu’en 1978.
Il faut également citer
Raymonde JACQUOT au Frasnois qui y exerça la profession de cuisinière de
La COLONIE LYONNAISE ST POTHIN
Au souci de
« refaire une santé » aux petits pensionnaires, de tout temps, on se
préoccupa de développer leur instruction.
·
Dès 1933, Création d’une école
mixte : une institutrice d’Etat y est détachée et officiellement
installée.
·
De 1946 à 1970, Yvonne GAILLARD, nommée par l’Académie du
Jura, assurera avec compétence et
dévouement cette tâche difficile du fait du renouvellement des petits
pensionnaires qui ne faisaient que passer.
ASSOCIATION
DES
PRÉVENTORIUMS DU
HAUT-JURA
------------
Siège
social : 5, rue du Regard
Paris
(VI°)
SÉJOUR
DE CURE D’AIR DANS LE JURA
POUR ENFANTS
DÉLICATS
--------------
Ouverture Avril 1928
--------------
Situation des Maisons :
Le Frasnois (Jura), altitude 840m, au centre de la belle
Région touristique des Lacs (lacs d’Ilay,de Narlay, de Beaulieu,
Cascades du Hérisson, etc)
Promenades nombreuses et faciles
Ages des Enfants
admis :
Garçons 5 à 10 ans ;
Fillettes
5 à 15 ans.
Prix de Pension :
10 fr. par jour, payables par quinzaine et
d’avance.
Ce prix comprend :
Frais de séjour ;
Blanchissage ;
Bains et douches ;
Exercices gymnastiques ;
Instruction primaire contrôlée .
Surveillance médicale ;
Surveillance des dortoirs .
Surveillance des jeux, etc
A la charge des Familles :
Certificat médical
obligatoire constatant l’absence d’état
contagieux ; Frais de voyage (en
convoi : 30 fr environ) ; Frais
de maladies graves ; Médicaments spéciaux ; Fournitures
scolaires : Dégradations ; Trousseau et vêtements
chauds ;
Toile de lit.
Nota – Les exercices religieux sont facultatifs.
---------------.
Droit
d’inscription : 10 fr. par enfant.
Dès son rachat , la
Fédération modernisa le Nid des Merles qui déclinera vite faute d’un nombre
suffisant de pensionnaires.
En 1978,
l’établissement ferme.
1997 : rachat du bâtiment par la commune au
franc symbolique.
1925
L’institutrice du moment possède une
automobile
1955
Réception d’une circulaire du Préfet du Jura invitant les communes à
faire les distributions de lait dans les écoles ; le conseil municipal ne
donne pas suite à cette directive considérant que les enfants du Frasnois
boivent du lait en quantité suffisante !!!
1958
Introduction du code de la route dans les écoles primaires abandonné et réintroduit au collège dans les
années 1980
1978, l’établissement
ferme.
1997 : rachat du bâtiment par la commune au
franc symbolique.
2008 BAIL DE LOCATION DE LOCAUX DANS LE BÂTIMENT DU NID DES MERLES
Entre La commune du FRASNOIS (Jura), ci-après désignée par
« la Commune » représentée par Monsieur Michel FELIX, Maire de la
Commune, agissant en vertu de l’autorisation donnée par le Conseil Municipal
suivant délibérations en date du 08
septembre 2008
D’une part, L’université de Franche-Comté (UFC), Etablissement public à
caractère scientifique, culturel et professionnel, ayant son siège au 1 rue
Goudimel 25030 Besançon Cedex, n° SIRET 192 512 150 003 63, code APE 8542Z,
représentée par son président Monsieur Claude CONDÉ
ARTICLE 1 : OBJET DU CONTRAT
A compter du 1er janvier 2009 jusqu’au 31 Octobre 2009 la commune
loue au Laboratoire qui accepte, des locaux
sis dans le bâtiment « Nid des Merles » situé au lieudit « le
haut du village », cadastre section ZC n° 16 sur la commune du Frasnois.
ARTICLE 2 : DESCRIPTION DES
LOCAUX :
La totalité du 2ème étage : environ 133 m²
La totalité du 3ème étage : environ 153 m²
Aile Est : rez de chaussée : environ 115 m²
1er étage
environ 91 m²
2011 ARRÊTÉ
PRONONÇANT LA FERMETURE DE L’ÉTABLISSEMENT
LE
NID DES MERLES
LE MAIRE DE LA COMMUNE DE LE FRASNOIS, Vu la visite de la commission de sécurité du 26 octobre
2011, constatant l’inexploitation de l’établissement au Vu de la mise en vente de celui-ci par la commune,
Considérant que les locaux ne sont plus occupés, ne
compromet pas gravement la sécurité du public et ne fait pas obstacle au
maintien de l'exploitation de cet établissement conformément à la loi du 11
juillet 1979, ARRETE :
Article
1 :L'établissement
Le Nid des Merle Type :
R+H-S Catégorie : 5 Sis : 26 Coin d’en Haut 39130 LE FRASNOIS sera
fermé au public à compter de la notification du présent arrêté à l'exploitant.
Article
2 : La
réouverture des locaux au public ne pourra intervenir qu'après une mise en
conformité de l'établissement, une
visite de la commission de sécurité et une autorisation délivrée par arrêté municipal
conformément à l'article
R 123-52 du Code de la construction et de l'habitation.Fait à
Le Frasnois, le 8 novembre 2011 Le Maire, Martial VALLET
2012 DELIBERATION
DU 09 MAI 2012 OBJET : ABANDON
PROJET ETUDE NID DES MERLES
Monsieur le Maire informe les conseillers qu’il est nécessaire de délibérer
pour abandonner le projet de réhabilitation du Nid des Merles Le Conseil
Municipal, après en avoir délibéré et à l’unanimité :Dit que le projet de réhabilitation du Nid des Merles est abandonné
2012
DELIBERATION N°
2012.044 DU 18 JUIN 2012 CETTE DELIBERATION MODIFIE
CELLE DU 09 MAI 2012 AYANT LE MEME OBJET
OBJET : VENTE DU NID DES MERLES
Pour faire suite à la délibération du 09 mai 2012 ainsi qu’à la division de
la parcelle cadastrée ZC N° 16 située sur la commune de Le Frasnois, LE CONSEIL
MUNICIPAL, après en avoir délibéré et à l’unanimité : Décide de modifier la
désignation des biens vendus en ce sens qu’elle portera non plus sur les
parcelles cadastrées section ZC n° 16 et ZB n° 4 mais sur les parcelles
cadastrées section ZC n° 118 et ZB n° 4. Précision faite que le prix de
150 000 € reste inchangé. Martial VALLET
2012 BAIL PRECAIRE
La présente location est de type précaire pour les
raisons suivantes : attente signature acte de vente.
ENTRE LES SOUSSIGNÉS :
Monsieur Martial VALLET demeurant 1 route des lacs
39130 LE FRASNOIS, agissant en qualité de maire de la commune de Le Frasnois,
propriétaire du logement, et suivant délibération du Conseil Municipal en date
du 18 juin 2012 ci-après dénommé le bailleur, d’une part,
ET La SCI du NID DES MERLES représentée par Michel
GALOPIN demeurant 26 Coin d’en haut 39130 Le Frasnois ci-après dénommés le
locataire, d’autre part,
IL A ETE CONVENU CE QUI SUIT :Monsieur Martial VALLET, propriétaire bailleur met à
disposition de la SCI du Nid des Merles le bâtiment du Nid des Merles sis à Le
Frasnois 26 Coin d’en haut.
DURÉE Le bail est consenti et accepté du 04 juillet 2012 à
12 heures pour se terminer le 10 juillet 2012.
LOYER La location est conclue à titre gratuit.
________________________________________________________________
INSTITUTEURS
·
1875 à 1878 :
une femme
·
1885 à 1888 :
Vital FORTIER ;
en novembre 1885, c’est à
l’initiative de cet instituteur que le conseil municipal vote un titre de rentre pour l’achat de livres
classiques à tous les enfants pauvres et à l’achat de livres pour une
bibliothèque populaire
·
En 1988, le conseil
municipal alloue à l’école une somme de 20 Francs pour achat de livres tant pour
les élèves que les habitants ; la
bibliothèque scolaire perdurera jusqu’en
1908.
·
1888 à 1901 :
une femme
·
1901 : M.
PUGET
1975
Installation du chauffage central à la
Mairie-Ecole
1979
Agrandissement de l’école avec en parallèle
réaménagement de la Mairie (dorénavant
occupée par l’école)
DE A 1992 CLASSES UNIQUES DU
CP AU CM2
Institutrices :
·
Mme GERARD DE A 1963 1964?
·
MME MADESCLAIR
Marie-France DE 1963 1964 1967
·
MME RICHARD
Elisabeth née BAILLY-MAITRE de septembre 1967 à septembre 1977
·
MME ROYDOR Brigitte
née CARADEC de septembre 1977 à septembre 1979
·
MME MILLET née
SORGUE Monique de septembre 1979 à septembre 1988
1989 1990 ?
·
MME BIRTEGUE Laurence de à
A N0VEMBRE 2006 RPI Regroupant BONLIEU- LE FRASNOIS (puis ST MAURICE)
Le RPI accueille les enfants de Le Frasnois, Bonlieu, Bouzailles dans un
premier temps ;ST Maurice-Crillat-Trétu rejoindra le RPI de BONLIEU
en
·
LE FRASNOIS du CP au CE2
·
instituteurs : Emmanuelle AYMONIN
·
Jean Marc
·
l’instit de la
Chaux du Dombief avec sa meute de chien
·
Julien ROCHE, la femme de BEAUSIRE
·
BONLIEU CM1 ET CM2 instituteurs :Christelle MONTJOIE puis Aurelie MONNET, Anne RENOUD,
En l’absence de maternelles sur les 2 sites respectifs, les enfants du Frasnois (Fromagerie et Narlay)
ont fréquenté les maternelles de
Champagnole, parfois Chaux du Dombief puis essentiellement celle du Pont de
la Chaux ; leur transport à Pont de la Chaux a été assuré par Mme E.
GIRARDOT, embauchée par le Conseil Général
Lorsque les enfants du Frasnois sont scolarisés à Bonlieu, ils utilisent
également un transport scolaire matin-midi et soir.
Il n’existe pas alors de vraie cantine (les repas préparés par les
parents sont réchauffés uniquement à Bonlieu) ; le soir, une aide aux
devoirs est proposée gratuitement à Bonlieu (elle est assurée par MME E.
MINESI)
24 OCTOBRE 2006 avant dernier jour de classe à Le Frasnois
Dans le bâtiment
Mairie-Ecole : les élèves des 2 classes élémentaires. La maternelle était
invitée à la salle des fêtes. Les enfants venaient de Bonlieu, Bouzailles,
Saint Maurice Crillat, Trétu, Le Frasnois,
NOVEMBRE 2006 A CE
JOUR (2016) RPI UNIQUE BONLIEU :
Toutes les classes depuis la maternelle jusqu’au CM2 sont désormais
regroupées à BONLIEU avec désormais services de garderie matin et soir et VRAIE
cantine le midi.
Le RPI accueille toujours les enfants des communes citées lors de la
création du premier RPI BONLIEU-LE FRASNOIS ;
LE SECONDAIRE
Les enfants du Frasnois sont scolarisés en règle générale
-
De la 6ème
à la 3ème au collège de ST LAURENT avec toujours transport scolaire
financé par le département
-
A partir de la
seconde jusqu’à la terminale au Lycée polyvalent Paul Emile Victor de CHAMPAGNOLE avec transport scolaire depuis Pont de la
Chaux et/ou possibilité d’internat.
-
Après le lycée, IUT
et ou facultés de, Besancon, Dijon